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번역의 손실과 보상 : La Perte et la Compensation de la Traduction

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Authors

김윤진

Issue Date
1999
Publisher
서울대학교 인문대학 인문학연구소
Citation
인문논총, Vol.42, pp. 163-184
Abstract
La perte ou l'entropie de la traduction et son corollaire, la compensation, sont
les deux termes qu'on peut trouver facilement dans toutes les théories de la
traduction. Mais la limite de la notion des mots reste assez floue que, sous ces
noms, on peut désigner toutes sortes de la différence entre le texte de départ et
celui d'arrivée, tous les moyens de remplir le déficit de la traducion. Pour faciliter
les traveaux du traducteur et pour mieux mesurer la qualité de la traduction, il
faudrait d'abord délimiter le champ de la notion de la perte. Selon la définiton du
dictionnaire, traduire, c'est faire ce qui était énoncé dans une langue le soit dans
une autre, en tendant à l'équivalence sémantique et expressive des deux énoncés.
De cette définition découle le fait que l'objet de la traduction n'est pas la langue,
système normatif du signe langagier, mais l'énoncé réalisé dans le temps et
l'espace concrets - que nous pourrion nommer le texte. Donc il est permis de
penser qu'il y aurait deux sortes de pertes, l'une qui provient du côté de la
différence des systèmes langagiers, et l'autre du côté de la différence des normes
de l'écriture - que nous voulons considérer virtuellement comme texte-langue. En
fait, nous employons diverses manières de l'écriture selon le type de texte et le
but d'écrire. L'usage du langage est régie par la visée de l'écriture; Pour quoi on
écrit? et pour qui? ce sont les questions qui prédisposent le comment écrire. Si la
visée du texte réside dans la transmission de l'information comme la revue
scientifique, le journal, la différence d'entre deux langues ne présente aucune
difficuté de traduction, car l'essentiel, ce n'est pas l'identité ni la ressemblance du
contenant - la structure linguistique- mais l'identité du contenu. Dans ce cas, on
pourrait extraire le sens du texte en le déverbalisant et le réduisant au concept, et
après le réexprimer dans la langue d'arriveé conformément aux conventions de
l'écriture d'arrivée. Dans ce cas, on pourrait dire le niveau du langage est en
grande partie soumise au niveau de la texte-langue. Mais le texte littéraire, où le
contenant et le contenu sont inséparablement unis, exige qu'on respecte la forme
comme participant à la construction du sens.
L'introduction de la notion de la texte-langue nous donne l'avantage de traiter
d'un autre point de vue les difficutés de traduction que les traducteurs heurtent
dans leur pratique. Ils n'auront plus de choisir entre deux manières de traduire:
traduire littéralement en risquant d'être mal compris ou traduire librement en se
voyant accusé d'avoir trahi le texte de départ. Parce qu'il est possible que la
différence que l'on considère comme perte de traduction au niveau du langage ne
le soit pas au niveau du texte.
ISSN
1598-3021
Language
Korean
URI
https://hdl.handle.net/10371/29303
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